mercredi 22 juillet 2015

plusieurs autres thérapies peuvent être appliquées aux animaux et notamment l'acupuncture


Shiloh est un chat extraordinaire.

On peut réellement dire ça car Shiloh est un véritable rescapé.

Souffrant d'une fracture à une patte suite à une chute du 14ème étage, déjà survivre à une telle chute relève du miracle, puis atteint d'un cancer et du FIH, le sida félin, l'acupuncture lui a sauvé la vie.

Shiloh vit Lachine, au Québec, et c'est au centre vétérinaire DMV qu'il a reçu ces soins complémentaires.

les aiguilles sont placées une quinzaine de minutes sur la tête, le cou et le dos du chat.

Les humains responsables de ce chat, Marie et Rodolphe Coiscaud, l'amènent 1 fois par mois pour recevoir des séances d'acupuncture. Le traitement est jumelé à un mélange d'herbes médicinales et on peut dire que les maux de Shiloh ont été vraiment soulagés.

Comme le dit Rodolphe Coiscaud
Lorsqu’on a appris que Shiloh avait le cancer, les vétérinaires nous ont dit vous avez le choix: la chimiothérapie, la cortisone ou bien vous le faites euthanasier. On a voulu donner une chance à notre chat, alors on a cherché des médecines alternatives

Il aura suffi de trois séances pour que le chat aille mieux
Au bout de la troisième fois, j’ai vu comment ça le régénérait. Il mange plus ensuite, il dort mieux et il est moins stressé, indique Marie Coiscaud.
Le traitement permet à l'animal de réduire ses nausées dues au cancer et donc d'augmenter son appétit.
De plus, le traitement procure une sensation de bien-être à l’animal, grâce aux endorphines sécrétées par l’effet des aiguilles, insérées à certains points clés du système nerveux, selon la docteure Hélaine Haltrecht.
Pour conclure, je trouve intéressante l'idée d'inclure dans les soins vétérinaires, des séance de médecine complémentaire. Il existe l'acupuncture, mais il y a aussi d'autres pratiques comme le Reiki.

La vie d'un animal ne sera sans doute pas sauvée, mais ces maux et difficultés seront largement atténués.

signé : www.animalspeaking.com



dimanche 19 juillet 2015

animation d'été à St Fons avec visite de la fermeuuuh buissonnière


Le 22 juillet 2015, la ville de St Fons dans le Rhône, propose à ses habitants un cinéma en plein air

GRATUIT

Celui-ci se déroulera sur la place des Grandes Terres.

L'association Les Amis d'Animal Speaking, animera à partir de 16 heures la place avec la venue d'une ferme pédagogique itinérante : la fermeuuuh buissonnière, dont vous voyez ci-dessus la photo de leur âne.

Voir les animaux de la ferme et regarder le film est gratuit pour tous.

Le film qui sera diffusé en soirée est : supercondriaque et il promet d'être très drôle.


Il y aura une buvette avec coca, orangina, oasis, eau, crêpes, hot dogs, bonbons, pop corn, etc...

Venez nombreux !

Pour vous montrer à quel point cela vaut le déplacement voici la bande annonce du film.




signé : www.animalspeaking.com

mardi 7 juillet 2015

Jekkyl, chien sauveteur



Jekkyl est un malinois de 37 kgs, mais il n'est pas un chien comme les autres.

Lui est un sauveteur, il a le destin de nombreuses vies humaines entre ses pattes.

En fait, l'humain qui l'accompagne est Nicolas Lombet. Nicolas est maitre chien et pompier volontaire, alors tout naturellement, Jekkyl est devenu sauveteur volontaire lui aussi.

Jekkyl travaille à Gembloux, en Belgique. La Belgique compte 23 chiens sauveteurs, mais Jekkyl est le seul de la zone NAGE, Namur-Andenne-Gembloux-Eghezée. Inutile de dire que lorsqu'il se déplace il est fortement attendu.

Jekkyl ne travaille pas vraiment, il joue. En fait, il va faire les recherches comme si c'était un jeu, sinon il ne serait pas efficace. D'autant que chaque seconde compte pour sauver une vie.

Nicolas explique :
"Il va d'abord renifler toutes les personnes présentes dans la zone pour éliminer leurs odeurs et se concentrer sur l'odeur inconnue de la personne recherchée."
Lorsqu'il a bien réussi sa mission, on lui donne son jouet préféré : un boudin en mousse qu'il va pouvoir mordre.

Jekkyl est donc motivé par le jeu et forme avec Nicolas, pompier à l'armée, un duo de choc et tout-terrain.
"Dans n'importe quels cas, des éboulements ayant enseveli une personne aux accidents de la route avec éjection des passagers en passant par les disparitions, le jeu est associé à la découverte de l'humain. Il a fallu 2 ans de formation pour que Jekkyl soit opérationnel."

Un chien comme Jekkyl, dit de travail et qui montre des capacités extraordinaires, est pris en charge dès ses 6 semaines. Et comme le dit Nicolas :
"Le but est de toujours lui montrer beaucoup de choses et de réaliser des entraînements difficiles. Parfois plus que sur le terrain. Car, comme dit mon chef, c'est en faisant des entraînements faciles qu'on gagne des guerres faciles. C'est un travail quotidien sur la dextérité et l'obéissance autant que sur la forme physique.
Quand j'interviens avec mon chien, je ne suis plus un pompier, je suis mis à la disposition de la sécurité civile. Et je ne peux pas intervenir de ma propre initiative ; tout est subordonné au centre de crise de Bruxelles."
C'est pourquoi Jekkyl n'a pas été élevé comme les chiens policiers.
"Il n'est pas fait pour poursuivre un fugitif de Lantin. Un chien de sauvetage est interdit de mouvements brusques. Il n'est pas préparé à se faire agresser, juste à aboyer quand il trouve un disparu. Et à reculer s'il est menacé."
Une fois lancé, Jekkyl a environ  une heure pour retrouver le disparu car il dépense beaucoup d'énergie en s'activant et en respirant beaucoup d'odeurs.

Il faut quand même savoir que ces chiens sont des êtres vivants et qu'ils ne sont pas infaillibles mais leurs résultats sont au maximum lorsqu'ils sont alliés à d'autres méthodes de sauvetage.

 Vive Jekkyl et ses copains sauveteurs. Nous pouvons constater que de plus en plus d'animaux aident les humains.

Signé : www.animalspeaking.com

dimanche 5 juillet 2015

sur une plage de l'île Sakhaline, on a retrouvé les restes d'un animal étrange



On a retrouvé en Russie, sur une plage de l'île Sakhaline, les restes d'un animal marin très mystérieux.

Cette créature est très grande, deux fois la taille d'un homme, elle a un long nez comme le bec d'un oiseau et de la fourrure sur la queue.

Certains pensent qu'il s'agit d'un dauphin du Gange, en Inde. Il aurait fallu que ce dauphin quitte son fleuve et parte à travers l'océan salé. Ceci est très improbable, du reste la taille et la fourrure ne sont pas expliqués.
"A en juger par l'apparence de sa tête, il s'agit bien d'un gros dauphin. Les caractéristiques de la peau nous laissent néanmoins penser que c'est une espèce rare", assure de son côté Nikolaï Kim
Nikolaï Kim est directeur du département météorologique de l'institut de recherche de la pêche et de l'océanographie de Sakhaline.

Il pense que cet animal ne vit pas dans les eaux de cette île, selon lui il a été porté par les courants chauds puis est mort lorsque la température de l'eau a chuté.

En tout cas, cet animal est un véritable mystère et pour l'heure nous n'en sommes qu'aux spéculations

Moi aussi, je pourrais spéculer et penser que, pourquoi pas, il pourrait s'agir d'une mutation violente.

Voyez le film Godzilla ci-dessous


signé : www.animalspeaking.com

vendredi 3 juillet 2015

Macrostomum hystrix, vers plat hermaphrodite vivant dans l'eau, s'injectent leur sperme dans la tête



Ces vers plats sont hermaphrodites, ce qui veut dire qu'ils ont les organes reproducteurs des mâles et des femelles.

Pour la fécondation, un ver utilise son pénis pour piquer un autre ver et lui injecte son sperme à travers la peau.

Comme les deux vers ont les mêmes organes reproducteurs, le choix d'être LE mâle se fait sous forme de combat, chacun cherchant à toucher l'autre le premier.

Des chercheurs de l'University of Basel en Suisse et de l'University of Bielefeld en Allemagne, ont découvert qu'en l'absence prolongée de partenaires, ces vers se piquent eux-même, s'auto-fécondant.

Ces vers vont jusqu'à s'injecter leur propre sperme dans la tête. Les spermatozoïdes migrent ensuite vers les oeufs.

Cette pratique reste exceptionnelle, elle a été développer pour éviter l'extinction de la race.
Mais dans tous les cas, la méthode de reproduction préférée de cette espèce, reste l'accouplement entre individus distincts.

Ces vers s'auto-fécondent dans des circonstance écologiques peu favorables afin de ne pas disparaître.